Seul, en famille ou entre amis, nous avons tous de bonnes raisons d’aller au salon Rétromobile qui se tient en ce moment Porte de Versailles à Paris.
Pour rêver
Rétromobile est avant tout un endroit pour rêver. De voitures anciennes à récentes, de concept car à voitures de courses, de modèles uniques à mythes de production, il y en a partout et pour tous les goûts. On ne sait plus où donner de la tête devant une telle concentration de merveilles.
Pour voir les compteurs s’affoler
Le stand Artcurial présente des dizaines de modèles à la vente. De quelques dizaines de milliers à des millions d’euros, les estimations s’envolent. Les deux stars de cette exposition : une Bugatti 51 de 1931 estimée à quatre millions d’euros et une Alfa Romeo 8C 2900 B Touring Berlinetta qui pourrait bien atteindre les vingt-deux millions d’euros. Résultat vendredi après-midi lors de la vente aux enchères au sein même du salon.
Pour soulager votre porte-monnaie
Comme souvent sur ce genre de salon, Rétromobile est l’occasion de se faire plaisir avec des pièces difficilement trouvable ailleurs : livres rares, modèles réduits de collection ou encore pièces d’arts uniques, il y en a pour tous les goûts et toutes les bourses.
Pour vous faire des contacts
Dans les allées, vous pourrez découvrir de nombreux clubs et amicales dédiés à de nombreux modèles, situés partout en France. Vous y rencontrerez des passionnés et peut-être y trouverez-vous un nouveau passe-temps.
Pour la démesure
Trois pavillons, des centaines de voitures, et au milieu, un camion. Énorme, comme vous n’en avez jamais vu. Ce camion Berliet affiche cinq mètres de large sur quinze de long, pour une hauteur de cinq mètres. Pouvant porter autant que son poids, 50 tonnes, il s’agit de l’un des quatre camions de la série destinés à transporter du matériel pour l’exploitation pétrolière en Afrique du Nord.
Pour les passionnés de moto
Les passionnés de deux roues ne sont pas en reste lors de ce salon. D’une part, Artcurial organise une vente aux enchères de près de cent MV Agusta. De l’autre part, un stand célèbre la marque centenaire Gnome & Rhône.
Des anniversaires en pagailles
Mini, la plus British des petites voitures, souffle ses soixante bougies cette année. Pour la célébrer, une haie d’honneur lui est consacrée dans le pont des expositions reliant les pavillons 1 et 2.2. Notre préférée ? Celle avec les crêpières intégrées pour vendre des crêpes de manière nomade.
Dans le pavillon 1, c’est Citroën qui est mise à l’honneur. Pour les 100 ans de la marque aux chevrons, un grand stand retrace son histoire à travers trente voitures : modèles de production, voitures de course iconiques et enfin concept cars. Parmi ces dernières, la Citroën Karin, modèle pyramidal présenté lors du Salon de l’Automobile de Paris en 1980.
Bonne visite !